Chloé Delaume

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Née en 1973, Chloé Delaume est écrivain. Adepte de l’autofiction et de littérature expérimentale, elle a notamment écrit Le Cri du sablier et Dans ma maison sous terre.

le livre

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éditions du Seuil

Adélaïde vient de rompre, après des années de vie commune. Alors qu’elle s’élance sur le marché de l’amour, elle découvre avec effroi qu’avoir quarante-six ans est un puissant facteur de décote à la bourse des sentiments. Obnubilée par l’idée de rencontrer un homme et de l’épouser au plus vite, elle culpabilise de ne pas gérer sa solitude comme une vraie féministe le devrait. Entourée de ses amies elles-mêmes empêtrées dans leur crise existentielle, elle tente d’apprivoiser le célibat, tout en effectuant au mieux son travail dans une grande maison d’édition. En seconde partie de vie, une femme seule fait ce qu’elle peut. Les statistiques tournent dans sa tête et ne parlent pas en sa faveur : « Il y a plus de femmes que d’hommes, et ils meurent en premier. »
À l’heure de #metoo, Chloé Delaume écrit un roman drôle, poignant, et porté par une écriture magnifique.

la presse

Chloé Delaume portrait sur Arte

Chloé Delaume dans Télérama

« Une comédie sociale décapante, d'une justesse rare. Aussi drôle que triste. »
Femme actuelle, Amélie Cordonnier

« Dans cette réjouissante comédie sur la contrainte conjugale, Chloé Delaume déconstruit les représentations de la vie réussie et livre une ode à l'amitié féminine »

Point de vue , E. L.

« Une impitoyable analyse sociologique du marché de la séduction passé 45 ans. Où il est beaucoup question de lose, des paradoxes du féminisme et de sororité. Le tout saupoudré d’une touche de sorcellerie. Irrésistible ! »
Causette, Sarah Gandillot

Voici un roman qui nous raconte comment une femme, exclue du monde quand elle ne séduit plus, découvre qu’elle a le choix de créer le sien.
Les Missives, Lucie Roussel-Richard

« Une fiction réjouissante à l'écriture ciselée. »
En attendant Nadeau, Pierre Benetti

« Chloé Delaume explore deux univers sans pitié, fouillés d’une plume acerbe. C’est drôle, cruellement réaliste. »
l'Humanité